samedi, juillet 14, 2007

Pot pourri, saveur Mère Nature.

Mère Nature devient folle, certes, ses enfants lui en ont fait voir de toutes couleurs. Mais surtout du gris à vrai dire, du gris polution. Du coup, elle leur a rendu cette grisaille, gris nuages.

Le soleil est revenu. La chaleur aussi. Pour combien de temps ? Pas beaucoup il parait, espérons qu'ils se trompent tout de même. Même si là-bas en Sicile, le soleil rate sûrement beaucoup moins de rendez-vous. Parce qu'on y sera pas éternellement là-bas.


Donc oui, il fait chaud, il fait beau.
Le problème n'est pas tant de s'habituer à la chaleur, mais à l'idée que "c'est l'été". Je m'étais habitué à cette grisaille, à cette pluie, à ce temps changeant. Ca en faisait déprimer certains, mais moi non. Par moments peut-être, mais le gris n'entamait pas mon morale au beau fixe, et j'appréciais même la pluie, les paysages sous la pluie. Et surtout, je m'étais également habituée à penser "Ah, et dire que c'est l'été, et il pleut :D". Cette situation de bonheur pluvieux s'était installée dans ma tête.
Mais, là, voilà brusquement que la situation redevient brutalement tout à fait normale pour mi-juillet. Les remarques "c'est l'été" reprennent un sens tout à fait différent, tout à fait normal. Je me demande bien pourquoi j'ai autant de pas mal à me faire à cette idée, pourtant très agréable, que l'été est enfin bel et bien là. Peut-être que le mauvais temps à duré trop longtemps, assez longtemps pour que j'apprenne à l'apprécier, à apprécier le temps changeant et farceur, à apprécier la pluie.



Ville fleurie.

Vous avez déjà vu ces panneaux à l'entrée de certaines villes, non ? Mais je me demande comment ils font leur classement ... Je trouve ma ville bien moins fleurie qu'une autre jugée "moins fleurie", alors peut-être qu'il y a l'originalité en plus, mais bon. Et puis cette originalité ... c'est chouette ces fleurs et plantes disposées afin de représenter quelque chose, mais le côté sauvage à parfois du bon.
Je ne sais pas si c'est le soleil qui rend les choses plus belles, ou mon père qui passe par des routes plus campagnardes, mais j'aime regardé la nature et les fleurs. Bon, je suis loin d'être comme ma mère à connaître le nom des plantes et à les rabacher à tout le monde, mais j'apprécie regarder la verdure illuminée. C'est tout de même mieux qu'un été de béton.

Enfin, ville fleurie, ça restera toujours ridicule par rapport à Santiago de Cuba.

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