vendredi, août 21, 2020

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vendredi, juillet 10, 2009

Vous savez quoi ?

Il y a un truc qui est génial, c'est d'aller bien. Même si la vie est injuste, même je suis peut-être peinée de parfois faire du mal, de contribuer à ce que la vie ne soit pas juste en ayant quitté quelqu'un pas parce que c'est logique, rationnel mais parce que c'est comme ça et que je ne vais pas me forcer. Même s'il y en a un autre que je suis obligée d'attendre, et que c'est peut-être bête d'accepter d'attendre mais c'est comme ça, et je n'ai pas envie de forcer la vie là non plus. Même si j'ai encore des ressentiments pour certaines choses, certaines personnes de mon enfance.
Là, je peux vous dire que je vais bien. Que mon seuil normal, mon seuil de neutralité, banalité avec les inconnus, est très aimant. Je vais bien, je me sens bien. Si Dieu (s'il existe...) est amour, alors moi je ne tend peut-être pas vers Dieu, mais je tend vers amour. (moui, plutôt avec un petit a)


Je ne pensais plus écrire ici, même fermer ce blog parce que je n'ai plus forcément envie de m'y confier, mais comme quoi. Comme quoi j'ai toujours des messages que je veux bien dire à tout le monde à la fois. Que je veux même dire à tout le monde à la fois, presque au monde entier tiens. Voyons large, soyons large.


Tududum !

mardi, juin 02, 2009

Mail

Désolée si le mail qui va suivre est un peu dur à suivre, je l’ai écrit en plusieurs fois. S’il est un brin impersonnel c’est que le nombre de destinataire est un tant soit peu grand. Mais voilà, j’espère que vous le lirez.

« Commencé le Dimanche 31 mai 2009 au soir

La loi du tout ou rien.

Tel le potentiel d’action, je suis cette loi. C’est généralement rien plutôt que tout, mais si j’arrive à envoyer ces mails, ça passera à tout.
Pourquoi ce mail qui commence bizarrement ? Pour dire à tous quelque chose que je suis généralement incapable de dire, qu’il me coûte d’écrire en ce moment : je ne vais pas forcément bien. Tout le monde sait que j’ai un côté renfermé, mais en réalité je crois que personne ne se doute à quel point je peux être refermée sur moi-même pour certaines choses. Je ne sais pas appeler à l’aide, je ne sais pas dire que « ça ne va pas ». Si j’envoie ce mail à tant de personne (même si vous ne verrez pas forcément à qui j’envoie tout ça, car je risque de faire des versions quelques peu différentes selon les personnes, même si le contenu sera généralement le même, peut-être juste parfois des façons de raconter différente), c’est bien parce que j’ai été incapable d’appeler Laura pour lui dire ce qui n’allait pas ce soir, incapable même de lui demander de venir sur MSN pour lui en parler (car si vous ne le savez pas, je ne suis pas à l’aise avec les conversation téléphoniques, et quand il s’agit d’ « avouer » quelque chose, l’écrit est plus facile quand on a pas assez de courage comme c’est mon cas). Je ne l’ai pas appelée, envoyé de sms, juste parce que je me disais que bon, à 22h il était tard pour quelqu’un qui n’avait pas encore passé ses partiels et qu’elle n’avait peut-être pas la possibilité de se connecter à ce moment là (un ordi/une connexion pas disponible), et aussi parce que je rechignais à lui confier une histoire de cœur juste parce que j’ai peur de l’embêter elle qui est célibataire pour le moment, peur de l’embêter et peut-être (c’est peut-être idiot comme idée) que ça lui fasse de la peine. Mais cette fois je me suis bien rendue compte que les excuses pour ne pas parler était vraiment minables, parce que 22h ce n’est pas si tard que ça et que Laura l’année prochaine recommencera en L1 de bio et qu’il y a donc de fortes chances que notre amitié puisse peser plus que ses partiels. Et ça m’a donc fait replonger sur quelque chose qui me tourmente : ne pas savoir appeler à l’aide.
Appeler à l’aide pour quoi ? A propos de quoi ? A propos de sales peines que je traine depuis des années et des années. Pour savoir l’histoire je vais en fait vous envoyer sur un lien où j’ai écrit, à une personne qui a été une très bonne amie bien que la relation ne soit que par internet, des souvenirs qui me torturaient. Voilà le lien : http://alphaz.canalblog.com/ -à lire à partir du dernier message vers le premier- (Pour ceux qui ignorent que j’ai une « vie » sur internet, et même ceux qui le savent mais n’en font pas partie, vous trouverez peut-être à un moment un autre lien qui renvoie sur un article d’un blog que je tiens et qui n’est connu donc que de gens que j’ai connu par internet, du moins jusqu’avant ce mail. Enfin, peu importe.)
Mais au fil des années, ce n’est pas juste ces souvenirs qui me font mal, ce n’est pas juste le fait d’avoir toujours peur que les autres me rejettent, peur de me retrouver de nouveau seule, peur de la solitude. Solitude que j’associe à de très mauvais moments. Ce qui me fait mal c’est aussi de me savoir si sensible, si faible, si marquée par ces années collèges. C’est savoir que je suis faible au point d’en pleurer encore des années après, et ce même plutôt régulièrement. Je ne saurais dire si ça arrive une fois par mois, des fois il y a peut-être un mois où je n’y pense pas, mais il y a certains mois où ça m’arrive plusieurs fois. Pleurer seule dans mon lit c’est l’unique moyen que j’ai toujours eu d’exorciser un peu le mal, à part peut-être des feuilles où j’ai écrit rageusement dessus ce qu’il me passait par la tête pour qu’elles finissent finalement rangée dans ma table de nuit sans plus jamais en sortir. Jamais je n’ai réussit à franchir le pas de prendre mon téléphone pour appeler Laura, Lisa, Pauline ou Alexis à l’aide. Parce que mes crises de larmes avaient toujours lieu à au moins 23h, si ce n’est pas plutôt 1h, 2h, 3h du mat’ et que n’ayant déjà pas le courage de dire que ça ne va pas, ces heures là ne m’aidaient pas. Et plus le temps passait comme ça, moins j’osais en parler par peur de blesser, vexer en avouant qu’avant je n’étais pas capable de leur parler. Peur qu’on prenne mon blocage comme un manque de confiance. Je ne sais pas à quel point c’est un manque de confiance, mais si c’est le cas alors il faut croire que je n’ai confiance en absolument personne. Ni mes parents, ni mon frère, ni Laura, Lisa et Pauline qui sont mes 3 meilleures amies, ni même en Louis même au moment où j’étais amoureuse. Parce que si à lui j’avais fait lire le lien donné plus haut, qu’une fois je lui en avait parlé en face de ces souvenirs douloureux, je ne l’ai pour autant jamais appelé dans tous ces moments où je pleurais seule dans mon lit, et il n’a jamais su que je pouvais ressasser tout ça à cette fréquence.
J’avoue que j’ai une peur bleue de vous envoyer ce mail, parce que c’est dur. Il y a sûrement d’autres choses à dire, mais je n’ai pas la force de formuler tout ça de façon cohérente. Je suis un peu trop fatiguée pour ça, fatiguée certes par deux fêtes successives, mais aussi d’avoir pleurer en pensant à ça, fatiguée d’avoir pleurer en écrivant tout ça. Fatiguée de cacher mes pleurs, ma tristesse. Fatiguée de ne pas savoir sortir de ma chambre pour aller chercher du réconfort au près de mes parents alors que j’en aurais très envie, fatiguée de ne pas savoir tout dire à Laura, Pauline, Lisa et Alexis. Fatiguée de ne pas avoir su réveiller Fabienne et Lauriane quand je n’arrivais pas à dormir et que je ne me sentais pas bien. Fatiguée d’avoir eu la gorge nouée quand à la soirée on cherchait à parler sincèrement et notamment de ce qu’on pensait les uns des autres. Fatiguée d’avoir mal sans même plus trop savoir pourquoi des fois. Parce que si je ne parlais pas non plus il faut dire que c’est que je me disais toujours que bon, je n’étais pas non à plaindre, y’a bien pire que moi. Mais si je passe le pas, c’est que y’a plusieurs fois où je me suis dit que tout de même pleurer autant ce n’est pas normal. Je sais qu’il y a d’autres gens qui ont vécu des choses similaires, mais je n’ai aucune idée de si les gens en pleurent autant, s’ils en sont autant marqué, s’ils en souffrent de la même manière. Et surtout je ne sais pas si les gens le gardent autant enfermé en eux. Mais ce que je sais c’est que je voulais vous dire tout ça. Je ne sais pas ce que je veux en retour, j’ai fichtrement peur des réactions que ce mail peut donner. Je ne sais pas si je ne risque pas d’éteindre mon portable après ça pour ne plus être joignable pendant quelques temps, ou peut-être que j’aurais envie de voir des gens, je ne sais pas trop. J’ai l’impression que le futur, le futur proche est un brouillard épais dont je ne connais pas encore la consistance. Mais… Ce que je veux c’est savoir me tenir debout toute seule. Je dirais presque me tenir debout face à une tempête, tempête qui serait le poids de vos regards sachant tout ça, sachant toutes mes faiblesse, car oui j’ai une trouille bleue du regard des autres, et que oui il m’importe et que je ne peux pas vraiment en être détachée.

Au moment d’envoyer ce mail je ne sais plus trop pourquoi je l’envoie, mais tout ce que je sais c’est que je ne dois surtout pas l’effacer et faire marche arrière…

jeudi, mars 19, 2009

Parce que j'aime les postes qui ne servent à rien.

Sur PI il y a le sujet "si j'étais je serais" là ... qui est sur la base du portrait chinois. (Où d'ailleurs la plupart des gens mettent ce qu'ils aiment -ou à la rigueur ce qui leur passe par la tête- et non pas ce qui les représente, mais bon). Et bref, ce topic je le lis pour voir ce que je réponds du tac au tac dans ma tête, parce que c'est marrant vu que je suis stupide :D et pour voir si je ne réponds pas la même chose que d'autres (ce qui arrive)

Bref au hasard (ou pas) :
Si tu étais un mot chuchoté à l'oreille ? Cornichon
Si tu étais une musique de film ? Là tout de suite je pense à celle de Charlie et la chocolaterie parce qu'elle est dans ma playlist Deezer, et qu'en fait je la trouve vachement flippante (un peu comme le dauphin).
Si tu étais ce que tu portes aux pieds ? des chaussettes : violet, rouge, gris, violet, rouge, gris, violet, rouge ...
Si tu étais le chant d'un oiseau ? PIOU PIOU
Si tu étais une manière de plonger ? en faisant un gros plat, parce que je ne sais pas plonger
Si tu étais ... une façon de montrer qu'un fonction linéaire est continue ? En la jettant par la fenêtre
Si tu étais un animal de basse cour ? Coooot cot cooot.
Si tu étais un élément qui caractérise l'adolescence ? La connerie (mais ça ça continue après)
Si tu étais une surprise nocturne ? Les règles
Si tu étais une étoile ? filante, en dessin punaisé en décoration sur le mur d'une chambre
Si tu étais une heure de la nuit ? à une heure du matin, c'est là où notre température centrale(interne) est la plus basse
Si tu étais un os du squelette humain ? l'os hyoïde
Si tu étais un objet insolite qu'on t'a offert alors que tu t'y attendais pas du tout? une lampe gaston lagaffe
Si tu étais un truc qui te fait peur mais que tu kiffes trop ta race quand même ? Les poulpes

mardi, mars 10, 2009

Ceci est une mise à jour. Au jour d'hier. Ecrite hier. Mais j'avais la flemme.

1. J'ai envie de poutrer tous les magazines crétins qui disent qu'ignorer les gens qui vous embêtent est forcément la meilleure solution
2. Je suis en train de m'inspirer des blogs de camille, sandrine et lulu pour faire ses 25 choses sur moi
3. Mon premier slow a été beaucoup plus comique que romantique. C'était à l'école primaire, le midi y'avait de la musique et un moment slow. J'avais personne (j'avais pas la côte), il avait personne, on s'est dit "pourquoi pas, juste comme ça". Il était plus petit que moi en taille, je sentais qu'il se mettait de temps en temps sur la pointe des pieds, ça me faisait marrer :D
4. Mon premier amour s'appelait Cyril, mon premier petit copain s'appelait Cyril, mais ce n'était pas le même : je ne suis pas sortie avec le premier, je n'étais pas amoureuse du deuxième. Et du coup je pense que je n'appelerai pas mon fils Cyril si j'en ai un *même si c'est un chouette prénom*. (Maintenant je suis amoureuse de celui avec qui je sors, c'est mieux :D Et comme tout le monde le sait, il ne s'appelle pas Cyril)
5. J'aime les prénoms originaux pour fille : Anaïta, Moïra, Nahiri, Morane ...
6. Je connais trop de gens nés dans les premiers mois de l'année, et là ça m'embête.
7. Je n'écoute la radio (sans compter deezer et jiwa hein) que dans la voiture et infimement france info le matin si la radio est encore allumée. Et du coup je connais peu de nouveautés.
8. J'ai une culture musicale que je trouve assez lamentable, je me dit toujours que je devrais piquer les albums de rock de mon père, mais je le fais jamais.
9. J'ai toujours vu beaucoup de livres, de bds (et de mangas, mais ça c'est uniquement dans ma chambre) chez moi, ça me perturbe de voir des gens avec peu de livres ou avec des livres rangés dans des pièces que je ne vois jamais.
10. Je n'ai déménagé qu'une fois dans ma vie, je n'ai jamais changé de quartier. Et le déménagement c'est fait en partie à la bougie à cause d'une coupure de courant.
11. Je n'ai pas eu d'amoureux quand j'étais petite, j'avais un très bon ami garçon, mais je suis certaine de ne l'avoir jamais considéré que comme un ami. (et je n'ai pas du m'intéresser aux garçons avant le CE2)
12. J'ai toujours adoré et admiré mon grand-père maternel qui était pour moi quelqu'un de parfait : ouvert aux autres (d'ailleurs il abordait n'importe qui dans la rue pour n'importe quoi), souriant, sage, qui nous faisait plein d'énigmes, d'activités manuelles (elsa coupe coupe coupe, elsa colle colle colle) ...
13. J'ai fait de la patatographie avec ma tante, ma grand-mère (et ma mère je suppose) : on découpe des patates et on s'en sert comme tampon de motifs avec de la peinture. J'ai d'ailleurs deux tissus dans ma chambre fait grâce à ça.
14. Je n'ai jamais compris pourquoi ma tante s'est evertuée pendant plusieurs années à nous offrir des stylos à mon frère et à moi.
15. Au vu des notes précédentes, je crois que j'avais envie de parler de ma vie.
16. Il y a un côté artistique du côté maternelle : les découpages avec mon grand-père, on a fait de la calligraphie, la patatographie, j'ai fait de l'aquarelle avec ma tante, de la pate à selle avec ma mère.
17. Mon frère avait un vélo bleu, Baloo.
18. J'ai appris très tard à faire du vélo, pareil pour la nage. J'ai vaguement appris à plonger, maintenant je ne sais plus du tout plonger, et j'ai plutôt peur des plats que je ferais si je réessayais.
19. Je dis plus d'un truc par catégorie je crois, mais là par exemple je ne dis rien.
20. Je n'ai jamais pleuré devant 30 millions d'amis, mais je pleure très facilement si je suis seule, et il m'est arrivé de pleurer par manque de sommeil aux états unis, je n'en pouvais plus (et j'ai dormi toute la journée qui a suivi).
21. Mon prof de neurophysiologie me donne l'impression qu'il va se pendre, mes profs de Sciences Humaines et Sociales sont chouettes.
22. Si je fais pas médecine, je crois que j'aimerais étudier l'univers, pour garder la tête dans les étoiles et étudier des trucs fantastiquement extraordinaires.
23. Je ne sais pas vraiment travailler régulièrement, c'est malheureux.
24. En ce moment j'écoute "Fly me to the moon" de Frank Sinatra, et j'aime.
25. Je pourrais dire encore plein de choses je crois, genre que mes amis déteignent sur moi et que j'ai un langage de chartière dernièrement mais que mon vocabulairement reste étendu très divers, pouvant répondre aussi spontanément un "fichtre" qu'un "bah tu te le fous dans le cul". Mais en fait je vais finir sur une dernière lettre. Z.

jeudi, janvier 15, 2009

De l'intérêt ...

L'intérêt d'une conversation de fille, c'est que ça peut être drôle, et surtout que les garçons se demandent bien de quoi on parle, surtout s'ils ont deviné/compris qu'on parlait d'eux.
Ou comment imaginer un mélange de 4 amis.

samedi, décembre 27, 2008

Joyeux Noël, ou les citations des livres des wc.

"Pour reste jeune, mangez bien, dormez bien, faites de l'exercice et ... mentez sur votre âge."