lundi, janvier 21, 2008

Complètement détraquée

Doit y avoir un truc de félé là-haut. Aucune logique, aucun rythme, question sommeil.

J'ai rarement un rythme hyper raisonable pour une période scolaire. Mais je fais toujours avec, même si parfois je fais pire que d'habitude. Souvent j'aimerais bien dormir. Ça parrait logique si on ne dort pas tant que ça. Ça repose, ça occupe, agréable farniente.

Ce soir on ne peut pas dire que je sois large question heures de sommeil (même si pas complètement crevée non plus), mais ... je n'ai pas envie de me coucher, je n'ai pas envie de dormir. Et, je ne sais pas pourquoi. Mais par contre, j'ai besoin de m'occuper, de m'occuper l'esprit, de ne pas me sentir seule. Parfois ça m'arrive de ne pas aimer le moment où on s'endort, les fois où on est à moitié conscient, conscient de sombrer dans le sommeil, de dériver petit à petit, se sentir partir. Mais là je ne pense pas que ça soit vraiment ça, puisque je ne suis même pas encore dans mon lit. A vrai dire je n'y pense pas trop surtout, je ne cherche pas à y penser.
Je cherche à m'occuper des fois pour me déconnecter un peu de la réalité -Pascal pourrait dire pour échapper à l'idée de la mort, moi je dirais pour oublier le manque-. Mais d'habitude dormir est aussi un très bon échapatoir. Mais là je n'ai pas envie. Je voudrais rester éveillée et occupée jusqu'à le revoir.

Sensation bizarre, bizarre sensation.

3 commentaires:

A Stranger In The Sky a dit…

Sensation bizarre, mais sensation vitale. C'est de genre de choses qui nous fait dire que finalement, on va peut-être passer une bonne journée. Que la vie vaut la peine d'être vécue. Ou encore, qui nous donne un but et un motif de rejouissance. Alors, surtout, ne cherche pas à t'en débarasser =P.

Horizon Z a dit…

Euh, non, ça ne me donnait pas l'impression que j'allais passer de bonnes journées après ^^' C'était vraiment une unique envie de me déconnectée de la réalité pour n'y retourner que sous une unique condition, Louis. Et avec l'impression que se coucher serait quelque chose de trop réel, de trop dur ... ^^'
Et ... si, je préferai avoir un rythme de sommeil normal et vivre bien aussi :D

(Adèle, c'est naze de pas mettre son profil blogspot publique, quand on ne sait plus qui c'est "a stranger in the sky", on se tape tous les blogs avant de trouver le bon XD)

Charly a dit…

C'est une sensation si connue. Non pas qu'elle soit douloureuse, mais elle te met dans un état tel que tu viens à penser que tout ce que quoique tu fasse, te sera pénible. Donc ne serait-ce que bouger, ou respirer en devient comme presque anormal... tant que l'autre n'est pas là pour te faire vivre. Comme si ton oxygène, ta raison de vivre c'était lui/elle ?
Si c'est cela, alors je te comrpends. Et je suis en même temps content pour toi.
Car je sais ce qu'il y a après et derrière ce ressenti.
Et ce même si c'est propre à chacun.

bisous 'ti puce.